Modèles historiques

Tout au long de l'histoire de Kawasaki, il y a eu un grand nombre de motos qui ont marqué leur temps.

1962

1962
B8125
La lignée des B8 fut la première à porter le nom complet de Kawasaki. Elaborée à partir de la B7 de Meihatsu qui utilisait un moteur Kawasaki mais les châssis et suspensions de la marque, les B8 de Kawasaki furent très populaires au Japon grâce à leur fiabilité et leur faible coût.

Le moteur de 125cm3 deux temps développait 8 chevaux à 8.000 tr/min et était issu de l’expérience de l’entreprise dans la conception et la production de moteurs d’avion. En réalité on pouvait lire sur les emblèmes de réservoir « Kawasaki Aircraft ».

1963

1963
B8M
Connue comme le " réservoir rouge" la B8M de 1962 a été créée spécifiquement pour les championnats de motocross au Japon.

En 1963 elle a prouvé son haut niveau de performances en écrasant la concurrence pour occuper les six premières places du classement.

La B8M fut la première moto de course  construite par Kawasaki et a été le premier modèle à être vendu en tant que machine de compétition de série. Basée sur les B8 de 125cc, le moteur a vu sa puissance augmentée à 12 chevaux (8 chevaux sur la version de route) et a été couplé à une boîte de vitesses à 4 rapports.

Avec le succès de la B8M est née une dynastie dont la devise est « Performances » et qui poursuit sa course encore aujourd’hui.

1966

1966
W1 650
A l’époque de son lancement en 1966, le bicylindre parallèle de 650cc refroidit par air de la W1était le plus gros moteur de moto construit au Japon. Sa réputation de solidité et de performances l’a rendu très populaire au Japon et sur les marchés à l’export tels que les Etats-Unis où Kawasaki commençait à s’implanter.

La W1 a été produite durant de nombreuses années et vers la fin de sa carrière une version spécifique répondants aux critères des forces de l’ordre a été créée avec un système de freinage à double disques à l’avant.

1969

1969
H1 500
Des premières esquisses sur les tables à dessin aux tests réalisés par Kawasaki Heavy Industries à l’université de Kyoto, la H1 fut envisagée avec plusieurs architectures comme un bicylindre en V, un triple en V ou en ligne. La moto telle que nous la connaissons est un trois cylindres deux temps à hautes performances. Les premiers tests ont montré la nécessité d’un allumage électronique pour éviter l’encrassement des bougies et atteindre le rendement de 120 chevaux par litre recherché.

La H1 fut surnommée « moto ayant la plus forte accélération au monde », le moteur de 500cc délivrait 60 chevaux et la machine courrait le 400 mètres en 13 secondes. Aussi célèbre pour sa maniabilité que pour ses performances, la H1 fut régulièrement améliorée puis arrêtée en 1976 à cause du durcissement des législations sur le bruit et la pollution.

1971

1971
Dave Simmonds H1R500
Basée en grande parties sur la 500 H1 de route de 1970, la H1R de course fut menée à la victoire par un pilote britannique : Dave Simmonds. A son guidon, il a remporté la première victoire de Kawasaki en Grand Prix à Barcelone en 1971. Le moteur de la H1R était un trois cylindres refroidit par air couplé avec un échappement dont la chambre de tranquillisation n’était pas isolée.

Développées et modifiées par l’usine et Simmonds lui-même, les dernières versions de la H1R furent aussi pilotées par Kork Ballington et Mick Grant, qui ont piloté un modèle à refroidissement liquide à la victoire lors de l’épreuve de 1975 du Senior TT sur l’île de Man.

1972

1972
H2 750
Grande sœur de la H1, la H2 et son trois cylindres deux temps refroidit par air  ont débarqué dans les rues dès 1972 sous le nom de Mach1. Avec plus de couple que la 500 elle était, pour beaucoup de monde, plus facile à piloter même si sur les premiers modèles la puissance arrivait brutalement.

La nouvelle H2R a été rendue célèbre par des pilotes tels que Mick Grant, Paul Smart et Yvonne Du Hammel. La H2 de route a donné ses lettres de noblesse à Kawasaki en termes de design élégant et de bon freinage. La légende veut qu’avec son disque de frein avant, son allumage électronique et son amortisseur de direction de série, la H2 était capable de tout dépasser... sauf une station d’essence !

1972

1972
Z1 900
Véritable icône du motocyclisme, la Z1 900 était originellement conçue pour être une 750cc, puis poussée jusqu’à 903cc lorsqu’un concurrent mis sur le marché une 750cc quatre cylindres.

Le moteur à double arbre à cames en tête et quatre sorties d’échappement stupéfia la presse mondiale et tous les motards. Il délivrait la puissance de 80 chevaux et permettait une vitesse de pointe de plus de 190km/h pour une machine d’origine. Son « bec de canard » à l’arrière devient une signature et participa à son histoire. La Z1 a pratiquement créé à elle seule la réputation méritée de Kawasaki de « mécanique indestructible » qui vaut toujours actuellement. Evoluant en Z900 en 1976, le 903cc de la Z1 a finalement cédé sa place dans la nouvelle Z1 de 1015cc au Z1000A1 en 1977.

1973

1973
H2R and KR750
Le hurlement démoniaque d’un trois cylindres 750cc deux temps de course de Kawasaki ne s’oublie jamais. Délivrant le maximum de sa puissance dans une plage étroite d’utilisation, le moteur refroidit par air de la H2R et plus tard les moteurs des KR750 à refroidissement liquide faisaient de leur mieux pour mettre à mal les châssis en acier tubulaire de ces motos vertes si célèbres. Mick Grant fut mesuré à la vitesse de 305 km/h sur le circuit du Tourist Trophy sur l’île de Man sur sa KR750.

L’affrontement entre les puissantes 750 commençait dès le début de la semaine, et les années 70 ont été marquées par plusieurs duels, Grant contre Sheene et sa Suzuki, Ditchburn contre la Yamaha d’Haslam et tous gardaient leurs doigts sur le levier d’embrayage « juste au cas où ».

1975

1975
KR250
Conçue dans le but de créer une puissante machine de grand prix avec une très bonne aérodynamique, la série des KR avaient des moteurs de 250 et 350cc avec les cylindres l’un derrière l’autre plutôt que côte à côte.

En effet, deux moteurs monocylindre, dont les vilebrequins étaient liés par des engrenages créaient un bicylindre avec une sonorité d’échappement typique du KR. Après plusieurs victoires dans les championnats du monde avec, tout d’abord, Kork Ballington puis plus tard Anton Mang.

La KR250 a également couru à Daytona avec Eddie Lawson. Avec autant de succès les KR250 et 350 eurent une carrière plus longue et plus prolifique que la plupart des autres machines de course.

1975

1975
KT250 Trials
Le milieu des années 70 fut le théâtre d’un fort engouement pour le sport en tout terrain et pas seulement pour le motocross. Le trial est également devenu très populaire. Kawasaki a voulu entrer sur ce marché qui étaient jusqu’alors dominé par des motos britanniques et espagnoles. Travaillant en partenariat avec le célèbre Don Smith, Kawasaki a développé l’innovante KT250 avec ses deux bougies et son système de changement de roue arrière rapide. Une gagnante accomplie dans les mains de Smith et de beaucoup d’autres. La KT250 emportait également un mécanisme de graissage de chaine automatique avec un réservoir dans le bras oscillant et des phares pour pouvoir être homologuée.

1975

1975
L’Endurance selon Kawasaki
Le pilote suisse Alan Genoud et son partenaire français Georges Godier, venaient d’être remerciés par un constructeur japonais avant de signer un contrat avec Kawasaki pour courir dans le championnat du monde d’Endurance. Basées sur des machines de série, les règles autorisaient la modification des châssis et des suspensions dans les meilleures catégories, et le moteur de la 900 Z1 constituait un outil idéal pour l’Endurance. Facilement à préparer pour obtenir plus de puissance, ce moteur s’est révélé très fiable et pratiquement incassable. Avec ses nombreuses pièces dignes des motos modernes telles que le mono amortisseur arrière ou les disques de frein flottants, la Godier Genoud était également équipée de pièces spécifiques à l’endurance comme les batteries facilement changeable, les fixations de jantes rapides et le réservoir avec un système de remplissage rapide. Quelle fut leur récompense pour leur dévouement à Kawasaki ? Le titre de champion du monde d’Endurance 1975 et une série de victoires en course à la force de leur pilotage face à une impressionnante armada de pilotes célèbres au cours des années suivantes.

1977

1977
Z650 B1
A son lancement en 1977, la Z650 B1 fut surnommée “Le prince des princes” en comparaison directe avec la Z1000(A1) qui avait gagné le tout aussi prestigieux titre de “Roi des rois”.

Une des dernières machines née de l’inspiration du légendaire ingénieur de Kawasaki « Ben » Inamura (qui avait également créé la 900 Z1). La Z650 était propulsée par un moteur de 64 chevaux et son  excellent châssis ainsi que ses suspensions furent encensés. Cet ensemble très homogène permettait une parfaite exploitation de la Z650.

Possédant l’agilité d’une 500cc et les performances d’une 750cc, la Z650 est logiquement devenue une véritable référence.

1977

1977
Z1-R
Lancement de la Z1-R à moteur 1015cc.

avec un regard unique et une personnalité de café racer inimitable, le look de la Z1-R est encore d'actualité.

1979

1979
Z1300
Reconnue par beaucoup comme la dernière de la course à l’armement par la taille qui a eu lieu dans les années 70 et au début des années 80, la Z1300 était vraiment une moto impressionnante avec ses six cylindres en ligne à refroidissement liquide et son énorme réservoir. Utilisant un cardan et des amortisseurs à gaz à l’arrière, la Z1300 est née avec trois carburateurs double corps avant d’évoluer vers l’injection électronique pour atteindre les 120 chevaux.

1980

1980
KR500
Avec un moteur utilisant les technologies issues de la grande gagnante KR250, la KR500 est bien plus qu’une version quatre cylindres de son inspiratrice.

Bardée de nouvelles idées et technologies, la KR500 fut un banc d’essai pour Kawasaki afin de tester toutes sortes de technologies d’avenir. Dotée d’un châssis monocoque en aluminium, son carénage est directement dérivée de l’expérience de Kawasaki en soufflerie dans l’aérodynamique d’aviation. Avec toute une plage d’ajustements et de réglages du châssis encore jamais vus sur une machine de course, la KR500 connu ses plus grands succès entre les mains de Kork Ballington qui a gagné le championnat Shell 500 sur la machine dont les technologies de partie cycle seront utilisées plus tard sur la supersportive ZX-12R.

1980

1980
La Moto Top Fuel
Dominant les courses de dragster Top Fuel aux Etats-Unis au début des années 1980’, la combinaison de Bo O Brochta et la Terminal Van Lines Kawasaki était pratiquement imbattable.

Elle représentait la référence à laquelle tous les autres se comparaient. La machine basée sur la Z1 était une des premières à posséder un moteur avec une culasse inversée qui avait pour particularité de présenter l’admission d’air/essence à l’avant et l’échappement à l’arrière. Son exceptionnel chrono de 7,08s au 400 m à l’Ontario Moto Speedway en 1980 a marqué l’histoire des courses de dragster. Courant au Etats-Unis et participant à des courses en Europe et au Royaume-Uni, la moto Termnial Van Lines a atteint le sommet du développement des dragsters refroidis par air avant le raz-de-marée des moteurs à refroidissement liquide et de machines spéciales apparues au milieu des années 80.

1980

1980
Z1000H
Créée à une époque où les carburateurs dominaient encore, la Z1000H à injection électronique de Kawasaki était une grande première pour la marque et parmi les toutes premières au monde.

Le mélange de raffinement et de sophistication, les magnifiques roues dorées alliées à la peinture noir et or de la moto donnaient à la Z1000H une aura particulière comparée à la production contemporaine. Utilisant toujours le légendaire moteur de 1015cc refroidit par air, la Z1000H a posé les bases de toutes les futures motos à injection électronique de Kawasaki.

1981

1981
La Superbike Z1000SR de Lawson
La première catégorie “Superbike” était un championnat américain basé uniquement sur des motos de série modifiées qui devaient conserver leur allure d’origine. Extrêmement populaire aux Etats-Unis, les motos étaient pilotées sur les circuits américains par des pilotes tels que Freddie Spencer, Wayne Rainey, Wes Cooley et « Monsieur Kawasaki » Eddie Lawson. En faisant le numéro 21 sien, Lawson et son Z1000R de « parade » sont entrés dans la légende et c’est sans surprise que son style et les décoration de sa moto furent beaucoup reprises sur les machines de série les années suivantes.

1981

1981
GPz1100 B1
L’aïeule de la célèbre lignée des GPZ fut la GPz1100B1, surnommée le « missile rouge ». Cette machine de course de série a engrangé de nombreux succès avec ses carburateurs CV et sa selle relevée. Plus tard, la très belle « onze » a adopté l’injection électronique et la suspension arrière Uni-Track, mais ce qu’il faut retenir en priorité c’est que le gros moteur refroidit par air de la GPz n’avait pas d’équivalent.

1982

1982
AR50
Essentiellement connu pour ses machines de sport légères, Kawasaki a voulu au début des années 80 se lancer dans la production de petites cylindrées et particulièrement dans les catégories prisées par les nouveaux motards. Bridée par la loi au Royaume-Uni à 30miles/h, l’AR50 respirait le style Kawasaki et était équipée des mêmes technologies que ses grandes sœurs : jante en alliage, disque de frein avant, tête de fourche et suspension arrière Uni-Trak.

1982

1982
AE80
Plus performante et proposant une alternative au style routier de l’AR, l’AE80 répondait à la demande croissante de machines de tout-terrain par les nouveaux conducteurs de deux-roues.

Bonne moto routière, l’AE80 fut, pour beaucoup, leur première moto et, plus important encore, leur première Kawasaki.

1984

1984
GPz900R
Première supersportive à quatre cylindres en ligne à refroidissement liquide, la GPz900R a fait sensation à son lancement et a élevé le style et les performances des motos vers de nouveaux sommets. Equipée de la suspension arrière Uni-Trak créée par Kawasaki, d’une fourche anti-plongée et d’une chaine de distribution déportée sur le côté des cylindres plutôt qu’au centre comme habituellement, les performances et la maniabilité de la GPz900R établirent de nouveaux standards que la concurrence n’atteignit qu’avec plusieurs années de retard.

1984

1984
GPz 750 Turbo
Dernier des “quatre gros” constructeurs à créer une moto équipée d’un turbo lorsqu’ils étaient en vogue dans les années 80, la GPz750 Turbo de Kawasaki s’est rapidement établie en tant que meilleure moto de cette catégorie.  Les modèles de 650cc envisagés au début furent rapidement remplacés par des 750cc et l’adoption d’un turbocompresseur IHI monté aussi proche que possible de l’échappement pour réduire le « retard du turbo » fut la cerise sur le gâteau. Avec cette moto de 750cc possédant l’accélération et la vitesse de pointe d’une 1100cc à moteur atmosphérique, la réputation de Kawasaki en tant que manufacturier de machines extrêmes  ne pouvait que croitre.

1985

1985
GPz600R
Précurseur de la Ninja ZX-6R, la GPz600R a créé la classe médiane des supersports. Et ce faisant, elle a prouvé que les très hautes performances ne proviennent pas nécessairement d’une grosse cylindrée.

Avec son cadre périmétrique reliant la colonne de direction au bras oscillant par une ligne la plus droite possible, la GPz600R se conduisait à l’instinct et a énormément surpris avec sa vitesse.

1990

1990
ZZR1100
Arme toujours aussi puissante actuellement que lors de son lancement en 1990, la ZZR1100 a établi des standards de performances qui ont fait perdurer la gloire de sa lignée et qui rendraient fiers ses ancêtres.

Elle fut un temps la moto la plus rapide au monde. Mais la vitesse ne résume pas à elle seule la puissante ZZR1100. Son confort, sa maniabilité et sa capacité à traverser les continents avec facilité ont fait de la ZZR1100 une machine de référence pour toutes ses concurrentes.

1991

1991
KX500
Descendante de la KX420, la puissante KX500 était (et est toujours) une machine effrayante. 500cc de muscles issus des courses, la grosse KX ne se laissait dompter que par des pilotes avec un gros cœur ! Refroidie par air et suspendue par deux amortisseurs à l’arrière à ses débuts, elle est ensuite passée au refroidissement liquide et un mono-amortisseur Uni-trak à l’arrière. Ce qui n’a jamais changé par contre, c’est le respect qu’il fallait montrer envers la machine parce qu’elle était capable de boxer, désarçonner et intimider n’importe quel pilote. Parmi ceux qui ont réussi à l’apprivoiser il y avait la légende américaine du motocross Brad Lackey et le pilote du Brit Team Green, Paul Malin qui, à l’âge de 19ans, devint le plus jeune vainqueur de Grand Prix de Motocross de France.

1995

1995
VN800
Un gros et paresseux V-Twin est l’architecture moteur typique d’un Custom. Mais durant de longues années, l’entrée de gamme de ce type de moto fut négligée par les constructeurs. La VN800 de Kawasaki a corrigé cette erreur car elle avait l’allure et le style de machines de bien plus grosse cylindrée, tout en étant plus maniable et légère. Pour certains, elle a servi de tremplin pour passer sur les plus grosses VN1500. La VN800 respirait le charme et la qualité et elle a ainsi acquis la fidélité d’un très large public.

1996

1996
ZX-7R
Elle n’était peut-être pas la machine la plus rapide de sa catégorie, mais la légendaire ZX-7R 750 a fait bien plus que compenser par sa maniabilité et la qualité de ses suspensions. Victorieuse d’innombrables fois dans sa version de course ZX-7RR, le moteur de 750cc à refroidissement liquide a rapidement reçu de très nombreuses éloges pour ses capacités routières et son équilibre, particulièrement sur des conditions humides ou de faible adhérence. Dernière des Kawasaki supersport de 750cc, la ZX-7R a ouvert la voie à sa petite sœur la ZX-6R qui a elle aussi dominé sa catégorie.

1998

1998
W650
Rappelant la fameuse Kawasaki W1 de 1960, la W650 dotée de son bicylindre 4 temps semblait toute droit sortie de cette grande époque.

C'est un classique avec des fonctionnalités telles qu'un arbre à cames à couple conique qui a été vendu à de nombreux fans afin de leur faire revivre leur jeunesse motarde. Les plus jeunes fans ont pu découvrir pour la première fois ce type de machine . 

2000

2000
Ninja ZX-12R
Bénéficiant des technologies issues de la construction aéronautique, la ZX-12R (ou projet 320 comme il était nommé à l’usine) était le symbole de la performance de Kawasaki. Avec un moteur en version libre de 200 chevaux et un châssis monocoque en aluminium, la ZX-12R était chaussée avec des pneus spécialement développés pour elle et même des « ailettes » sur le bas de carénage et sur le garde boue pour dévier l’arrivée d’air et réduire encore son coefficient de pénétration dans l’air.

2001

2001
ZRX 1100
En imitant le look de la machine de Superbike AMA d'Eddy Lawson, la ZRX évquait aussi le style Café Racer de la Z1R.

La ZRX a su conquérir un très grand nombre de motards en répondant aux attentes des pilotes qui apprécient aussi bien le style rétro que la technologie moderne.

2003

2003
ZX-6R
Avant-gardiste de par sa nouvelle ligne en 2003, la ZX-6R a eu la lourde tâche de révolutionner le monde des supersports.

Sa motorisation de 636cc a offert des performances époustouflantes tandis que son châssis étais considéré par beaucoup comme étant tout simplement extraordinaire.

2004

2004
Ninja ZX-10R
La réputation de performance de Kawasaki remonte à la 500H1 de 1969, et les hypersportives de la marque illustrent bien cette orientation sans compromis si chère aux amoureux de la marque de par le monde. Même avec cet héritage, l’arrivée de la ZX-10R en 2004 en a encore surpris plus d’un. Avec 184 chevaux, une géométrie et des suspensions dignes d’une véritable moto de superbike, la ZX-10R était née pour la domination que ce soit dans les mains de pilotes ou d’amateurs éclairés. Elle s’est rapidement forgé la réputation de la plus extrême des hypersportives de tous les temps. La ZX-10R de 2004 a ainsi acquis le statut bien mérité de machine ne présentant absolument aucun compromis.

2004

2004
KX250F
Quatre temps, puis deux temps et enfin de nouveau quatre. Le monde du motocross a tout d’abord été dominé par les motos quatre temps, et la majorité était britannique. Avec l’avènement et le développement des chambres d’expansion, les machines deux temps ont considérablement progressé en puissance tout en étant plus légère. Le monde motocycliste a donc abandonné les quatre temps. Cependant, le motocross a bouclé la boucle pour des raisons de bruit et de pollution. C’est ainsi que le quatre temps est  de nouveau redevenu roi. La meilleure 250 aux yeux de nombreux professionnels et amateurs est la KX250F.  Considérée comme pratiquement parfaite dès sa sortie « de caisse » la KX250F est entrée dans sa 8ème année d’existence et ne cesse de s’améliorer. Avec une grande puissance et une maniabilité en rapport, la KX250F est un chef d’œuvre du motocross moderne.

2004

2004
Z750
Depuis son introduction, la Z750 est vite devenue un succès commercial et une base de personnalisation pour de nombreux motards. La sous culture "Supernaked" était née.

Numéro 1 des ventes dans de nombreux pays, la Z750 est présente sur de nombreux site et très répandue à travers les réseaux sociaux. Elle est devenue l'icone des roadsters de moyenne cylindrée.

2004

2004
VN2000
C'est le plus gros custom de grande production jamais produit. A son lancement, la VN2000 était plus que de simple numéros.

Avec son caractère distinctif bien trempé ainsi que de nombreuses idées ingénieuses, le moteur 2 litres du VN2000 a rétabli la position d'acteur majeur de Kawasaki sur la scène Custom mondiale.

2006

2006
ER-6n
Compacte et facile à prendre en main, l’ER-6n a fait sensation à son lancement et continue depuis à impressionner. Le  moteur de 650cc à refroidissement liquide est issu du cœur de la ZX-12R. Ce bicylindre parallèle est logé dans un châssis tubulaire simple mais efficace. Depuis ses débuts, elle arbore des coloris très tendances tels que le jaune métallisé. L’ER-6n, et ses cousines, l’ER-6f et la Versys, a gagné la confiance des citadins et des nombreux motards.

2008

2008
1400GTR
La 1400GTR est un des nombreux exemples de création d'un nouveau segment de marché de la part de Kawasaki. Elle possède deux visages : le voyage au long cours avec ses caractéristique "Touring" très pratiques et la conduite à rythme soutenu avec ses aptitudes sportives et sa technologie embarquée.

Avec un châssis monocoque et le calage variable des arbres à cames, elle représente un tour de force d'ingénierie.

2008

2008
Ninja 250R
En faisant découvrir la marque Ninja à un nouveau public, la Ninja 250R a rassemblé encore plus de fans de Kawasaki comme les jeunes permis et les femmes.

Avec l'utilisation d'un moteur très résistant, d'un châssis léger ainsi que d'un design très typé Ninja, la Ninja 250R a ouvert la voie pour la Ninja 300.

2010

2010
Z1000
Sur le fond et la forme, la Z100 2010 s’inspire de son héritage pour se mettre au gout du jour. La Z1000 n’est pas seulement louée pour son style avant-gardiste mais aussi pour le très performant châssis dont elle est équipée, son freinage haut de gamme et son moteur de 138 chevaux en version libre. Avec une égale qualité de style et de performances, la dernière Z1000 est bien partie pour devenir une icône.

2011

2011
Z1000SX
Seule sur son segment lors de sa sortie, la Z1000SX combine des performances sportives de premier ordre ainsi que des aptitudes de voyageuse.

2011

2011
Ninja ZX-10R
Formidable sur route, la Ninja ZX-10R a été une excellente base pour le titre de champion du monde de BK de Tom Sykes en 2013. Aussi victorieuse en course qu'appréciée sur route, elle mélange subtilement haute technologie et esprit Ninja.

2012

2012
ZZR1400
Digne héritière de la lignée des ZZR, la ZZR1400 profite d'une accélération fulgurante ainsi que de sensations de conduite hors normes.

Avec l'introduction de nombreuses aides électroniques et l'amélioration des freins ainsi que des suspsensions, cette puissante machine est à juste titre considérée comme une icone du monde motocyliste.

2012

2012
KX450F
Pour être au top en compétition de Motocross, il faut une machine au top : la puissante KX450F. Pour un chasseur de podiums de MX1, la KX450F peut se targuer de particper pour moitié à la victoire finale. L'autre motié dépendant du pilote lui même. C'est ce qu'à prouvé Ryan Villopoto en gagnant de nombreux titres en championnat AMA.

2013

2013
Z1000
En exploitant un nouveau concept stylistique baptisé "Sugomi", la Z1000 repousse les limites du style Supernaked et le caractère du moteur vers de nouveaux sommets.

Offrant une réponse instantanée et un châssis très précis, la Z1000 a été positivement jugé comme machine construite pour les "vrais" pilotes. En un mot, c'est typiquement une Kawasaki !